Cette énorme seringue d’étain servait à administrer des solutions par le rectum. Ces lavements, à l’image de ce qui pouvait être pratiqué chez l’homme, étaient sensés aider à l’évacuation des « humeurs » surabondantes, à l’origine de la maladie, et à lever les obstructions. Le cheval a un gros intestin très développé mais qui présente des rétrécissements dans lesquels des masses alimentaires peuvent se bloquer. Ce traitement était bien dérisoire et d’une efficacité hypothétique.