Aux XVIIIe et XIXe siècles, avant que l’adduction d’eau soit réalisée à Paris, les chevaux présentaient des calculs digestifs extrêmement impressionnants liés à l’accumulation de végétaux ou de poils emprisonnés dans une matrice minérale. Certains pouvaient atteindre des masses de plus de 10 kg. Ils étaient généralement bien tolérés, jusqu’à ce qu’ils se coincent dans un étranglement de l’intestin et déclenchent une occlusion fatale.