Les longues journées de labeur du « cheval tracteur » se terminaient parfois sans la quantité d’eau nécessaire à l’hydratation du cheval. Fatigués, harassés, les hommes en charge des bêtes n’avaient pas toujours la force d’aller chercher de l’eau. Résultat : les chevaux contractaient des calculs intestinaux impressionnants, sans doute très douloureux. Pour autant, ils devaient continuer leur travail au jour le jour.